Passeport: si vous n’êtes pas ressortissant des Emirats Arabes Unis, d’Arabie Saoudite, du Koweit, de Bahrein ou du Quatar, il vous faut un visa (valable 6 mois pour un séjour maximum de 3 semaines, plusieurs entrées) pour entrer à Oman. Obtenir un visa n’est souvent pas chose aisée ; il est beaucoup plus facile d’en faire la demande par l’intermédiaire d’une agence de voyages. Vous aurez besoin d’un permis spécifique si vous envisagez de vous déplacer en voiture. L’entrée dans le pays vous sera refusée si votre passeport indique que vous avez visité Israël.
Santé: aucun risque spécifique excepté un bon anti-moustique approprié pour la région et possibilité de malaria.
Monnaie: le rial omani est la monnaie locale, et il faut compter environ
Chf 3.- = 1.- Omr. Vous pourrez changer vos espèces et chèques de voyage auprès de la plupart des banques et des bureaux de change, ces derniers offrant des taux souvent plus avantageux que les banques. Les distributeurs automatiques de billets, bien que répandus, n’acceptent pas forcément toutes les cartes.
Divers: vous trouverez un décalage de 2heures en été et de 3h en hiver avec Genève. L’électricité est de 220 / 240 V. Le pourboire n’est pas d’usage dans les restaurants bon marché, les établissements plus chers tendent à ajouter à la note 10 à 17% de service, destiné à la maison et non au personnel. Une taxe de 15% est prélevée sur les tarifs des hôtels. Pour la plupart, les prix sont fixes, ce qui ne vous laisse guère de chances de pouvoir marchander autre chose que des souvenirs dans le souk. Et encore, l’exercice peut s’avérer frustrant. Les commerçants consentent souvent une petite remise sur le prix affiché, mais n’iront pas plus loin. Si vous tentez de marchander les tarifs d’une course de taxi, vous paierez inévitablement deux ou trois fois plus cher que le prix normal.